Frédéric Duval, directeur général France, évoque « 400 métiers différents », du préparateur de commande au financier en passant par les ressources humaines ou le développement.

Radio France

Publié

Temps de lecture : 1 min

Frédéric Duval, directeur général d’Amazon France, le 14 mai 2024 sur franceinfo. (FRANCEINFO / RADIOFRANCE)

Amazon va embaucher 3 000 personnes en France, et veut le faire savoir. L’entreprise, qui a annoncé en amont du sommet Choose France qu’elle allait investir « plus de 1,2 milliard d’euros en France », recherche « tous les profils », explique mardi 14 mai sur franceinfo son directeur général en France, Frédéric Duval. « On a 400 métiers différents et l’ensemble de ces métiers sont concernés. On va avoir des préparateurs de commandes, on va avoir des gens qui sont plus dans les services d’encadrement, on va avoir des ressources humaines, on va avoir des financiers, on va avoir des personnes qui font du développement », énumère-t-il.

« J’invite tout ceux qui souhaitent nous rejoindre à être véritablement engagés dans la recherche [d’emploi]. On a un site web dédié à cela et qui nous permet effectivement de véritablement promouvoir l’ensemble des sites », explique le dirigeant. Il balaye les critiques sur les conditions de travail des employés d’Amazon. « On a demandé à l’Ifop de faire une enquête auprès de nos salariés, il y a un an et demi. 80% des gens sont heureux ou très heureux », assure-t-il. « 80%, c’est 20% au-dessus de la moyenne nationale », soutient-il.

La somme que va investir en France le géant du commerce en ligne servira aussi à développer ses infrastructures cloud en région parisienne, une activité très énergivore. « Nous sommes dans une démarche de décarbonation très forte de notre supply chain [chaîne logistique] et de notre activité. 90% de notre consommation électrique dans le monde est issue des énergies propres », se défend Frédéric Duval.

D’autre part, « nous sommes dans une démarche de transport écologique ». Il cite « des livraisons en véhicules électriques, des cargos bikes [vélos cargo] ou même, à Paris, des livraisons pédestres [à pied] ». « On est véritablement dans une démarche de décarbonation », insiste-t-il.

Source

D'autres articles pour vous